Pour cette étude menée en partenariat avec SKF et financée par le gouvernement suédois (Agence suédoise pour l’environnement), avec une subvention de 6,57 millions de couronnes (734.000 euros), Volvo reprend globalement l’architecture de son hybride plug-in. Le prototype qui sera testé sera en effet doté d’un moteur thermique classique pour entraîner les roues avant, tandis que les roues arrières seront propulsées par le nouveau système, à base d’un volant d’inertie, baptisé « Flywheel KERS » (KERS = Kinetic Energy Recovery System), et que l’on connaît bien en Formule 1.
Un système qui emmagasine l’énergie lors des freinages non pas dans une batterie, mais en entraînant la rotation du volant d’inertie. Il s’agira ici d’une pièce en fibre de carbone, de 20 centimètres de diamètre et pesant environ 6kg, et qui tournera sous vide jusqu’à 60.000 tr/min. Lors des accélérations, l’énergie emmagasinée peut être renvoyée vers les roues arrière, procurant un supplément de puissance pouvant atteindre 80 ch
Le faible encombrement du système et son coût peu élevé le rend selonVolvo
Source : Volvo