Toyota ne se contente pas de vouloir réduire la pollution atmosphérique avec l'hybride (et demain avec l'électrique et la pile à combustible). Il veut aussi surveiller l'évolution des gaz à effet de serre. Le constructeur japonais a mis au point un simulateur capable de prédire la concentration d’ozone troposphérique sur tout le Sud-Est asiatique, en collaboration avec l’Université de Tsinghua en Chine, l’institut TERI (The Energy and Resources Institute) en Inde et l’IIASA (International Institute for Applied Systems Analysis) en Autriche. A ne pas confondre avec la couche d’ozone - présente dans la stratosphère et qui protège la terre en absorbant le rayonnement ultraviolet du soleil – l’ozone de la troposphère est cette couche qui s’étire sur 10 km d’épaisseur environ à la surface de la Terre et qui est la cause principale du smog photochimique. C'est donc un polluant atmosphérique néfaste pour la santé humaine et la croissance végétale.
Comme chacun sait, la croissance économique des pays asiatiques en voie de développement se traduit par une dépense d’énergie à grande échelle, ce qui augmente le taux d’ozone troposphérique et suscite des inquiétudes pour l’environnement. Le simulateur de Toyota va mesurer les émissions et aider à prendre les bonnes décisions. Par une modélisation en 3D de la qualité de l’air, le simulateur intègre dans ses calculs la consommation d’énergie future, basée sur les politiques énergétiques actuellement envisagées*. Il peut ainsi prédire la concentration d’ozone troposphérique pour l’ensemble du Sud-Est asiatique, contribuant ainsi à une limitation du réchauffement climatique.
*Par exemple, les stratégies déjà à l’étude pour réduire la pollution atmosphérique dans les plus grandes villes chinoises.
Comme chacun sait, la croissance économique des pays asiatiques en voie de développement se traduit par une dépense d’énergie à grande échelle, ce qui augmente le taux d’ozone troposphérique et suscite des inquiétudes pour l’environnement. Le simulateur de Toyota va mesurer les émissions et aider à prendre les bonnes décisions. Par une modélisation en 3D de la qualité de l’air, le simulateur intègre dans ses calculs la consommation d’énergie future, basée sur les politiques énergétiques actuellement envisagées*. Il peut ainsi prédire la concentration d’ozone troposphérique pour l’ensemble du Sud-Est asiatique, contribuant ainsi à une limitation du réchauffement climatique.
*Par exemple, les stratégies déjà à l’étude pour réduire la pollution atmosphérique dans les plus grandes villes chinoises.